En 1862, George Sand prend la plume pour défendre le roman de Gustave Flaubert, Salammbô, alors éreinté par la critique. Ainsi commence leur rencontre, et leur amitié.

Tout les séparait pourtant : l'âge, la manière d'écrire, les idées politiques et même la façon de vivre. Leur correspondance, régulière pendant quatorze années, témoigne de cette relation unique, mêlant les plaisanteries aux débats d'idées, les tracas de la vie quotidienne aux projets d'écriture.

Leur échange comprend 315 lettres (de G. Sand à G. Flaubert et de G. Flaubert à G. Sand). On les trouvera toutes publiées ici intégralement et dans l'ordre chronologique.