MUSÉES ET

BIBLIOTHÈQUES

À PARIS :

Manisfestations du Bicentenaire
George Sand
en 2004


Sommaire

 

Bicentenaire George Sand (1804-1876)

Les multiples facettes de la personnalité de George Sand, femme, mère, écrivain, artiste, journaliste, militante et pédagogue seront évoquées à l’occasion du bicentenaire de sa naissance, à travers plusieurs expositions et manifestations organisées sous l’égide de la Ville de Paris.

Le musée de la Vie romantique proposera une présentation du «musée personnel» de la romancière tandis que la Bibliothèque historique de la Ville de Paris évoquera sa vie, ses amis, ses idées, son oeuvre à travers Histoire de ma vie.

D’autres bibliothèques municipales célèbreront également ce bicentenaire.

Par ailleurs une promenade sur le Paris de George Sand sera publiée et diffusée gra-tuitement à l’intention de tous ceux qui souhaiteront retrouver les traces du Paris du XIXème siècle.

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Musée de la vie romantique

Du 29 juin au 28 novembre 2004

Une nature d’artiste

Catalogue de l’exposition

Site internet : http://www.paris.fr/musees/Vie_Romantique/expositions/bicentenaire_sand/accueil.htm

«C’est dans la belle peinture qu’on sent ce que c’est que la vie : c’est comme un résumé splendide de la forme et de l’expression des êtres et des choses, trop souvent voilées ou flottantes dans le mouvement de la réalité (…). L ‘univers se révélait à moi. Je voyais à la fois dans le présent et dans le passé, je devenais classique et romantique en même temps. Je voyais le monde du vrai surgir (…) il me semblait avoir conquis je ne sais quel trésor d’infini dont j’avais ignoré l’existence.» ( George Sand, Histoire de ma vie)

Comme toutes les grandes figures du romantisme, George Sand aura partagé les passions et le malaise des enfants du siècle. Un siècle paradoxal, voué au compromis, au métissage entre l’ancien et le nouveau monde.
La Révolution avait aboli les castes, déplacé les frontières du possible et de l’impossible. Entre vertige et exaltation, chacun deviendrait héros de sa propre vie – une vie inventée à la seule mesure de l’énergie et du talent. Congédié trop vite, le fantôme de l’Ancien Régime était revenu sur la scène. Et la jeunesse, rattrapée par une histoire radoteuse qui bricolait des restaurations, était «tourmentée de désirs absurdes». Comment ajouter encore foi au passé alors qu’on rêvait de caracoler en solitaire, d’autant plus vulnérable et sensible à «l’incomplet» de la destinée qu’on se voulait «fils de ses œuvres» ?
Dans l’expression de cette mélancolie, Delacroix voyait «le caractère moderne des arts», l’essence de «ce qu’à tort ou à raison, on appelle romantisme».
Personne mieux que George Sand n’aura réfléchi les enthousiasmes, les rébellions et les déchirures de cette modernité au travail. «Malgré moi, je me sentais artiste»… De l’improbable mariage entre aristocratie et démocratie, de l’âpre négociation entre révolution et tradition, la romancière allait faire surgir une patrie inédite mais fondatrice – celle de l’art.

Un portrait du Maréchal de Saxe par Maurice Quentin de La Tour (1704 -1788), un plâtre de Jean-Baptiste Lemoyne (1704 -1778), une aquarelle de Louis-Nicolas de Lespinasse (1734 -1803), des pastels et dessins… autant de pièces à conviction qui racontent le roman familial de George Sand, son enfance et son adolescence écartelées entre deux époques, deux classes, deux mondes. La blessure des origines est l’aiguillon de l’imagination créatrice.

Ecrire suppose «une chambre à soi». Deux tableaux de Corot (1796-1875), une aquarelle de Thomas Shotter Boys (1803-1874), disciple de Bonington, évoquent les retraites de Paris et de Venise où l’écrivain s’enfermait pour «soulager du spleen qui s’en va en encre».

Des dessins de Maurice Sand (1823-1889), des huiles de Théodore Rousseau (1812-1867), d’Eugène Lambert (1825-1900), condisciple de Maurice dans l’atelier de Delacroix, un paysage de Gustave Castan (1823-1892), peintre suisse dont George possédait une toile, font la part belle à la terre du Berry, à l’oasis de Nohant. Dans ce phalanstère du romantisme, George aimait réunir les «frères d’élection » avec qui par-tager une communauté d’aspiration et d’idéal. L’exposition rassemble les célèbres portraits de Liszt et Marie d’Agoult par Henri Lehmann (1814 -1882), de Balzac par Louis Boulanger, de Chopin par Eugène Delacroix (1798-1863), de Musset, de Flaubert, de Mérimée, de Dumas fils par Jean-Baptiste Carpeaux (1827-1875)… Deux très rares daguerréotypes – Eugène Delacroix, 1842 par Léon Riesener (1808-1878), Balzac 1842 par Bisson frères – et une série de tirages de Nadar (1820-1910) complètent cette famille par l’esprit où Delacroix tient une place de choix.

Pour la première fois, l’exposition propose une évocation du «musée personnel» de la romancière qui conservait sept toiles de Delacroix, exécutées pour certaines à Nohant – une Éducation de la Vierge, un Vase au bouquet champêtre… sans compter les aquarelles, pastels et dessins également offerts par le maître. Une Esquisse pour le voeu de Louis XIII et une Étude pour Stratonice de Jean-Auguste Dominique Ingres (1780-1867) viennent relancer le débat passionné entre Sand et Delacroix sur le dessin et la couleur, «études exclusives l’une de l’autre».
Sur les cimaises du musée imaginaire, on retrouve également La vanne de Jules Dupré (1811-1889), un tumultueux Paysage d’Auvergne de Théodore Rousseau exposé par Ary Scheffer dans l’atelier de la rue Chaptal, et la célèbre Allée de Châtaigniers que la romancière fit acheter par l’Etat. Deux très belles huiles de Paul Huet (1803-1869) auquel George avait réclamé des oeuvres gravées, soulignent le rôle précurseur joué par le «Delacroix du paysage». Ce tour d’horizon serait incomplet sans «la splendeur orientale» des scènes de chasse d’Eugène Fromentin (1820-1876), sans la chanson grise et nacrée de deux toiles de Corot, Effet du matin et Effet du soir – que la romancière jugeait «superbes comme des dendrites idéalisées».

De la plume au pinceau… l’exposition révèle un aspect inattendu du talent de l’écrivain en présentant un ensemble d’aquarelles exécutées selon la technique «à la dendrite» ; écrasées entre deux papiers, les couleurs engendrent de curieuses nervures : «Mon imagination aidant, j’y vois des bois, des forêts ou des lacs et j’accentue ces formes vagues produites par le hasard». Les audaces romantiques auront imposé d’autres modes d’expression, bousculé les distinctions traditionnelles copier/créer, artiste/artisan… En soulignant la réussite des maïoliques florentines ou des planches du buriniste Luigi Calamatta (1801-1869) composées d’après les maîtres, en encourageant les projets d’illustration de Maurice Sand ou de Gustave Doré (1832-1883), en plaidant pour le mime Deburau ou en confiant le théâtre aux marionnettes, George Sand n’aura cessé d’affirmer, au-delà la hiérarchie des genres, l’unité profonde de l’art.

La centaine d’oeuvres réunies pour l’exposition provient pour l’essentiel des collections publiques françaises, (musée du Louvre, d’Orsay, musée du château de Versailles, musée de la Vie romantique, musée des beaux-arts de Rouen, de Lille, d’Amiens, d’Angoulême, de Rennes, de Reims, de La Rochelle…) ainsi que de collections privées.
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Lundi 29 novembre à 19h30 au Musée de la Vie Romantique

Soirée réservée BNP Paribas-Les Amis du Musée de la Vie Romantique, organisée par Lire autrement
Lecture Musicale George Sand Un hiver à Valldemosa, Lettres et Pages choisies George Sand et Frédéric Chopin 1838-1839.

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Bibliothèque historique de
la Ville de Paris

22, rue Malher – 75004 Paris

George Sand
L’œuvre-vie

Exposition du 10 septembre
au 14 novembre 2004

Jusqu’au 14 novembre inclus. 22, rue Malher – 75004 Paris. 01 44 59 29 60.
Métro: Saint-Paul-Le Marais.
Ouvert tous les jours, sauf le lundi, de 11h. à 19h. Fermeture le 11 novembre.
Droit d’entrée: 4 € ou 2 € pour les groupes, les étudiants, les chômeurs, les retraités et les membres de la Maison des Artistes.
Visites-conférence tous les jeudis à 16h.
Renseignements et inscriptions au 01 48 78 80 50
Visites guidées pour les groupes, les scolaires, les associations :
renseignements et réservations (sauf le lundi) : 01 44 59 29 60

La Bibliothèque historique se trouve à la tête de l’un des plus importants fonds sur George Sand. Grâce à un legs de sa petite-fille, Aurore Lauth-Sand, et à des acquisitions ultérieures, se trouvent réunis: documents familiaux, correspondance, manuscrits et éditions originales de romans et de théâtre, photographies, dessins et illustrations de Maurice Sand,…

L’exposition présente plus de trois cents documents, dont une grande partie d’inédits, qui font revivre l’une des très grandes figures de la vie artistique et politique du XIXe siècle et un écrivain d’une éblouissante inventivité.
Commissaires: Jean Dérens, conservateur général de la Bibliothèque historique, Luc Passion, conservateur en chef, Martine Reid, universitaire. Scénographie: Roger Jouan.

Catalogue :

George Sand, L’œuvre-vie,
Editions Paris-Bibliothèques
128 pages,
90 illustrations en couleurs
30 €.

Il s’agit d’une évocation de la vie de George Sand à travers le prisme de Histoire de ma vie. De 1847 à 1854, cette femme de quarante ans se penche sur son passé, à la recherche de son identité. Il s’agit d’une chronique personnelle, mais aussi d’un extraordinaire témoignage sur la société et les idées, sur le monde littéraire et artistique, sur la vie quotidienne à Paris et à Nohant, dans les châteaux et les chaumières, depuis le dernier tiers du XVIIIème siècle.

Ce texte n’est pas seulement remarquable par la qualité de l’observation et de l’écriture, l’auteur applique le crible de la raison à sa vie pleine de passions, passion de la liberté, passion amoureuse, passion d’écriture, passion de la fraternité, passion pour l’émancipation des femmes, passion de la famille et de l’éducation des enfants.

Ces éléments biographiques seront commentés, illustrés, voir corrigés par des correspondances, des photographies, des éditions originales, des manuscrits, largement puisés dans la collection Sand de la Bibliothèque historique de la Ville de Paris.

Cette exposition, comme toute recherche sur George Sand, devra beaucoup à l’admirable travail de Georges Lubin, éditeur des oeuvres autobiographiques et de l’énorme correspondance de George Sand.
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Samedi 16 octobre à 15h à la Salle de lecture de la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris

La correspondance : une vie qui s’écrit

George Sand fut dès son adolescence une épistolière prolixe et fidèle, la correspondance fut un art entretenu durant toute sa carrière. La correspondance de Sand avec des plumes de renom telles Pierre Leroux, Armand Barbès, Victor Hugo, Hippolyte Taine et son « troubadour » Gustave Flaubert, mais aussi avec de plus modestes femmes de lettres débutantes ou es enfants, illustre avec abondance l’esprit de coeur et d’humour d’une virtuose de l’écriture.

Avec Brigitte Diaz (Université de Caen), Thierry Bodin (spécialiste des autographes et de la littérature du 19e siècle). Rencontre animée par Martine Reid.
Lecture spectacle à 16h30 par Sabine Haudepin et Pierre Forest.
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Dimanche 7 novembre 2004, de 10h à 12h à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris

Le Centre de recherche sur la Littérature française du XIXe siècle de l’Université Paris-Sorbonne organise une table ronde

George Sand. Correspondance et écriture intime

à l’occasion de la publication par Thierry Bodin des Lettres retrouvées (Gallimard) et des Lettres d’une vie (Gallimard, coll. Folio classique) de George Sand, avec la participation de Françoise Alexandre, Anne Chevereau, José-Luis Diaz et Bernard Hamon.
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Samedi 6 novembre 2004, à 20h30 à la Bibliothèque Historique de la Ville de Paris

Lecture musicale George Sand Les Amants de Venise, Lettres et Pages Choisies George Sand et Alfred de Musset 1833-1835.

Sur réservation (06 85 20 75 71, 01 45 26 36 10 ou 06 14 85 67 61), participation 12 euros

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Bibliothèque l’Heure Joyeuse (fonds historique)

Mai – août 2004

George Sand, Les contes d’une grand-mère

Exposition des dessins originaux d’André Pécoud, réalisés pour l’ouvrage de George Sand, Les contes d’une grand-mère, récemment acquis par la bibliothèque. Cette exposition sera complétée par la présentation des différentes éditions pour la jeunesse des livres de George Sand conservées au fonds historique.

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Bibliothèque Marguerite Durand

octobre-novembre 2004

Réalisation de deux vitrines sur George Sand à partir du fonds de la bibliothèque. Organisation d’une table ronde George Sand, féministe et présentation d’une lecture-spectacle.
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Mercredi 20 octobre 2004 à 18h30

George Sand : une femme en politique

La découverte de l’expérience singulière d’une femme actrice et témoin de l’aventure de son siècle : l’invention de la démocratie.

Avec Michel Perrot (professeur émérite à l’université de Paris VII) et Huguette Bouchardeau (éditrice).
Rencontre animée par Emmanuel Laurentin.

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Auditorium de l’Hôtel de Ville
Paris 4e

Mercredi 6 octobre 2004 de 9h30 à 18h
Réservation indispensable au 01 44 78 80 50

« Histoire de ma vie » : portrait d’une femme, histoire d’une génération

Sept ans de travail, mille cinq cents pages, cette autobiographie, publiée d’abord en feuilleton dans La Presse entre octobre 1854 et août 1855, raconte successivement l’histoire familiale de celle qui, née « à cheval entre deux classes), est fille du peuple par sa mère et descendante du roi de Pologne par son père ; puis celle qui devient « George Sand » au printemps 1832 après une enfance marquée par la campagne berrichonne et le couvent es dames anglaises à Paris.

9h30 : Autobiographie d’une génération
(sous la direction de Martine Reid)

  • George Sand et la « Revue des Deux Mondes »
    Michel Crépu (directeur de la Revue des Deux Mondes), avec la participation de Marie-Eve Thérenty (Université Montpellier-III)
  • Entrer dans l’Histoire, entrer en littérature : autobiographie d’une génération
    Michèle Riot-Sarcey (Université Paris-VIII)
  • Le métier de « romancier » : l’écriture de soi au nom de l’exemplarité d’une génération
    Béatrice Didier (ENS, Paris), Damien Zanone (Université Grenoble-III)

14h30 : D’Aurore à George
(sous la direction de Damien Zanone)

  • Famille, familial, familier
    Gérard Gengembre (Caen), Philippe Berthier (Université Paris-III)
  • La lecture, le livre
    François Bessire (Université de Rouen), Jean-Yves Mollier (Université de Saint-Quentin en Yvelines)

Des lectures données par Sabine Haudepin ponctueront ces interventions.

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Bibliothèque Mouffetard

Jeudi 14 octobre à 18h30

« Consuelo » et l’œuvre romanesque de George Sand

Consuelo, et La Comtesse de Rudolstadt ne forment qu’un seul romn, archétype du roman historique romantique, noir et sentimental. Il raconte les aventures d’une très jeune fille d’origine espagnole dans l’Europe des Lumières qu’une voix admirable conduit à l’Opéra de Venise, où elle est engagée comme cantatrice, puis au Château des Géants en Bohème où Albert de Rudolstadt tombe amoureux d’elle, puis à Vienne où elle croise Haydn, à Berlin où elle rencontre Voltaire avant de regagner la Bohème.
Hymne à la musique et aux musiciens, Consuelo est aussi l’annonce du retour aux idées révolutionnaires issues des Lumières.

Avec Eric Bordas (Université Paris-III), Pierre Laforgue (Université de Besançon) et Michel Le Bris (sous réserve).
Rencontre animée par Martine Reid.
Textes donnés par la lectrice Sophie Gubri.

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Samedi 2 octobre à 15h

George Sand à haute voix

Lecture de la correspondance de George Sand (d’après Georges Lubin) par René Bourdet.

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Bibliothèque Amélie

Samedi 23 octobre à 14h30

Vive la vie d’artiste, notre devise est liberté

La Compagnie Bains Publics présente une lecture-spectacle avec accompagnement musical, conçue à partir de la correspondance de George Sand, recréant l’ambiance intime des salons littéraires et musicaux du 19e siècle.
Réservation indispensable auprès des bibliothécaires

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Bibliothèque Faidherbe

Samedi 16 octobre à 15h

George Sand, une vie d’écriture

Parcours lecture à trois voix, conçue par Séverine Forlani, auteur de George Sand, le défi d’une femme (éd. Du Jasmin). Ces lectures sont mises en espace par Xavier Fahy.

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Bibliothèque Porte Montmartre

Samedi 16 octobre à 15h

Contes et correspondances de George Sand

La compagnie « L’Antre aux livres » présente deux contes et des extraits de la correspondance de George Sand pour redécouvrir l’auteure, la femme amoureuse, la mère et l’amie.

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Bibliothèque Fessart

Mardi 12 octobre à 15h

La voix des livres

Lecture à voix haute de textes de George Sand par les bibliothécaires.
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Samedi 16 octobre à 15h

Vive la vie d’artiste, notre devise est liberté

La Compagnie Bains Publics présente une lecture-spectacle avec accompagnement musical, conçue à partir de la correspondance de George Sand, recréant l’ambiance intime des salons littéraires et musicaux du 19e siècle.

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George Sand et les artistes de son temps

Ces conférences-diaporamas sont proposées par Nathalie Loyer, conférencière et Edwige Jurilli, conteuse.
Des fougues romantiques aux élans socialisants du réalisme, l’œuvre de George Sand trouve de nombreux échos dans l’art de ses contemporains, peintres ou sculpteurs.
Refusant d’appartenir à une école, George Sand, écrivain et femme engagée dans son siècle, a pris une part essentielle dans les grands débats artistiques et sociaux qui ont marqué son époque.
Cette conférence propose la mise en perspective de ses écrits avec certains artistes des collections du Petit Palais : Millet, Courbet, Dalou, Delacroix, Breton et Corot.

  • Bibliothèque Port-Royal (Paris 5e) : Mardi 19 octobre 2004 à 19h
  • Bibliothèque Amélie (Paris 7e) : Samedi 16 octobre 2004 à 14h30
  • Bibliothèque Drouot (Paris 9e) : Jeudi 21 octobre 2004 à 12h30
  • Bibliothèque Glacière (Paris 13e) : Samedi 9 octobre 2004 à 15h30
  • Bibliothèque Batignolles (Paris 17e) : Vendredi 22 octobre 2004 à 17h45
  • Bibliothèque Fessart (Paris 19e) : Jeudi 14 octobre à 18h30

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